Ces aliments, cœur de la production de l’industrie agro-alimentaire moderne, pose de multiples problèmes.
Ce n’est plus du blé, mais une succession de composants de blé, ce n’est pas du lait mais de la poudre de lait, etc… qui entrent dans l’élaboration de ces produits.
Pour les optimiser à divers égards (aspect, conservation, appétence…), les industriels les élaborent en ajoutant force matières grasses, sel, sucres, sirop de glucose, conservateurs, colorants, émulsifiants, glutamate, etc… Il suffit de lire la liste interminable des ingrédients au dos des paquets.
Ces aliments ultra-transformés sont des bombes à calories, des concentrés de graisses, de sucres ou et de sel, d’agents chimiques et autres composants plus ou moins indésirables, ils sont remarquablement pauvres en fibres et en micro-nutriments (minéraux, vitamines…).
On peut alors légitimement suspecter ces aliments ultra-transformés de participer à l’explosion de l’obésité, des grandes maladies chroniques (diabète, cholestérol, maladies cardio-vasculaires….) dans nos sociétés.
Parce que nous n’avons jamais assez de temps, nous avons tendance à acheter et consommer de très nombreux produits transformés. Qu’il s’agisse de produits en conserve, de plats surgelés, de barres chocolatées ou encore de céréales pour enfants, ces produits pourraient bien finir par être nuisibles pour la santé aussitôt qu’ils sont consommés en trop grande quantité.